La Conquête de Logre
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 Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non

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Castiel de Vannes
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Castiel de Vannes


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MessageSujet: Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non   Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non Icon_minitimeMar 27 Sep - 18:53

Castiel de Vannes
Mon nom est Castiel de Vannes, surnommé "Coeur de Loup" ou "L'Enfant de La Lune", 22 ans, fils du duc de Vannes, frère de Dame Mevanwi, chevalier, marié à Dame Avelina, homosexuel reconnu, récemment adoubé chevalier. Actuellement, mon cher et noble père m'a envoyé auprès du Roi Arthur avec mon épouse, mon cousin et mon meilleur ami, chevaliers eux aussi, et surtout ma meilleure alliée, la Folie. Apparemment, il ne supportait plus quatre de nous cinq...

HISTOIRE

"Les hommes sont si nécessairement fous, que ce serait être fou, par un autre tour de folie, de n'être pas fou."


Castiel est né à Vannes, une nuit d'orage. Il était le premier fils du duc Nathaniel de Vannes et de la Duchesse Juliette, qui n'avaient eu que deux filles jusque là. Sa route était donc toute tracée. Dès qu'il sut marcher, on lui apprit à monter à cheval, à se battre à l'épée, à diriger des hommes sur un champs de bataille. Mais ces leçons, excepté l'équitation, l'ennuyaient à un point assez peu imaginables, alors que ses cours de musique, d'histoire, de poésie et d'étiquette le passionnaient. Mais il faisait des efforts et se montrait attentif à toutes ses leçons. Jamais aucun de ses professeurs n'eut à se plaindre de lui, du moins durant son enfance. En grandissant, il devint de plus en plus androgyne et de plus en plus insoumis. Et il se détourna très rapidement de sa famille, son père ne voyant en lui qu'un héritier, tout au plus, et sa mère n'ayant d'yeux et de coeur que pour ses soeurs aînées, Mevanwi et Gabrielle. La seule affection qu'il reçut fut celle de son maître d'équitation et de la famille de ce dernier. Le jeune homme le raconte ainsi: "La vérité, c'est que mon très cher père n'espérait plus avoir un fils, alors il s'est contenté de l'héritier que ma mère lui a donné à l'insu de son plein gré. Dans cette famille, les filles reçoivent la tendresse, les fils les responsabilités. La joyeuse et grande famille que nous étions ! Pas étonnant que j'aie dû chercher ailleurs la moindre parcelle d'affection que je pouvais trouver". Il en a gardé une grande rancoeur envers ses parents. Ses soeurs, elles, reçurent toute la tendresse qu'un frère pouvait leur témoigner.

Malgré son rang, il fréquentait très souvent les gens du peuple, trouvant en eux la tendresse qu'il ne pouvait espérer recevoir chez lui. Il lui arrivait de s'échapper de ses leçons et de rejoindre des jeunes de son âge, ce qui lui valut de nombreuses corrections. Mais selon ses propres dires: "Je ne suis pas le genre de cheval qu'on peut dompter avec des coups de cravache. Ou qu'on peut appâter avec une carotte."

Vers son seizième anniversaire, il rencontra un homme, dans une des tavernes qu'il écumait avec ses amis. Cet homme, nommé Dewi, avait une dizaine d'années de plus que lui et possédait un charme fou. Ils se virent des jours durant pour discuter de tout et surtout de rien, un exercice particulièrement apprécié de Castiel. Peu à peu, le jeune aristocrate se rendit compte que ce qu'il prenait pour une grande amitié pour Dewi se transformait en désir. Lui, de qui aucune femme, fût-elle Aphrodite en personne, n'avait su s'attirer plus qu'un compliment ou un baisemain, railleur de surcroît, l'animal qu'aucune chasseresse, même Artémis, n'avait su attrper, se laissait faire et suivait tel un chien docile le moindre pas d'un chasseur plus âgé que lui. Cela provoqua l'hilarité de ses amis, mais pas un ne lui jeta de regard oblique. Après tout, que leur importait si le jeune noble préférait le sexe fort au beau sexe, tant qu'il restait le même ? Et ce ne fut certes pas cette découverte qui le rendit plus sage ou moins imprévisible. Bien au contraire.

Alors que son père était réputé pour ses fréquentes insomnies et son habitude de se promener dans les couloirs du château familial quand il ne pouvait dormir, le fou que Castiel était déjà à 17 ans invita son ami à le rejoindre dans sa chambre, se manquant totalement de se faire surprendre. À vrai dire, peu de choses lui auraient fait plus plaisir que de voir le mépris dans les yeux de son méprisable géniteur. Mais ce ne fut pas le cas, car personne ne se fit surprendre. Jusqu'au lendemain matin...
Castiel et Dewi passèrent toute la nuit ensemble et dormirent dans les bras l'un de l'autre. Au matin, quelle ne fut pas la surprise du valet du jeune rebelle en le voyant blotti contre un roturier de dix ans son aîné. En voyant la stupéfaction dans le regard de son serviteur, l'aristocrate ne put retenir un éclat de rire.
"Eh bien, Meriadek, qu'as-tu donc ? Aurais-tu vu un fantôme ?" demanda-t-il sur un ton faussement innocent en posant la tête sur l'épaule dénudée de son amant.
"Euh... non, mais..." bafouilla le domestique, tentant de reprendre contenance.
"Un Elfe, alors ? Mais non, rassure-toi, ce n'est que mon cher Dewi."
"Hum, non, mais..."
"Une Fée, peut-être ? Ah Meriadek, depuis tout ce temps, tu ne me reconnais toujours pas ?"
"... votre père sollicite un entretien avec vous, immédiatement."
" Eh bien qu'il entre ! Il me tarde de lui parler."
Pendant que Meriadek, médusé, alla chercher le duc, Dewi le dévisagea avec un sourire entendu, prit leurs deux chemises qui gisaient à terre, et tendit celle de son jeune ami à son propriétaire qui s'en vêtit en la laissant complètement ouverte. L'adolescent planta ensuite un regard plein de provocation dans celui, atterré de son père. Nathaniel ne pouvait dire un mot, tant sa fureur était grande. Il dévisagea son indigne fils, vautré dans les bras d'un homme, qui le regardait avec défi.
"Comment osez-vous, fils de chien ?"! cracha-t-il à son héritier.
"Oh, père, père, père, je vous en prie, ne me donnez pas le bâton pour vous faire battre dès votre première phrase. L'insulte est trop facile."
Le duc leva la main pour le gifler, mais arrêta son geste quand l'amant de son fils se redressa pour le défendre. Il baissa la main et sortit de la pièce... pour revenir avec la garde.
"Jetez cet homme au cachot !" ordonna-t-il en désignant Dewi.
Les gardes se saisirent donc du jeune, malgré les protestations de Castiel. Quand le père et le fils furent seuls, le jeunes noble s'habilla vivement, puis s'approcha de Nathaniel qu'il égalait en taille. Ils se dévisagèrent un bon moment, puis le plus jeune cracha au pied du plus vieux, puis lança avant de sortir de la chambre.
"Très cher père, l'amour que j'ai pour vous ne me permet pas de vous dire autre chose que ceci: vous êtes méprisable.!"

Cet acte marqua le début des hostilités entre les deux hommes. Nathaniel n'ayant aucun autre fils que Castiel, même illégitime, il fut bien obligé de tempérer sa colère et de ne pas le tuer sur place. Tous deux durent apprendre à se tolérer, pour le bien de la famille, mais jamais l'on ne les vit seuls tous les deux. Malgré son goût prononcé pour la provocation, le jeune homme décida d'éviter de trop s'afficher avec des hommes, pour leur bien. Son père, après avoir fait libérer Dewi l'avait chassé de son domaine, sous peine d'être à nouveau enfermé. Mais cela n'empêcha pas le futur duc de découcher très souvent. Ses amis le soutenaient autant qu'ils le pouvaient et sa soeur Gabrielle faisait tout son possible pour que les deux ennemis se réconcilient. Castiel saluait l'intention, mais étant aussi rancunier que son géniteur, cela ne fonctionna jamais.

Trois ans après le commencement des hostilités, Castiel se trouva forcé d'épouser Dame Avelina, la fille d'un riche seigneur voisin de Vannes. En effet, il l'ignorait, mais son père l'avait fiancé à Avelina durant son adolescence, sans lui en parler. Contre toute attente, à l'annonce de cette union, le jeune homme ne montra aucune colère, il se contenta de demander si elle était jolie et si elle était aussi folle que lui. Le soir des noces, les époux se retrouvèrent seuls dans la chambre nuptiale. Mais, avant de se mettre au lit, le jeune rebelle crut bon d'expliquer à sa femme ses quelques particuliarités. Tous deux, ils convinrent du caractère postiche de ce mariage et se jurèrent, à défaut de fidélité et d'amour, respect et affection. Ils décidèrent également qu'ils coucheraient régulièrement ensemble, afin de faire naître un héritier au duché de Vannes. Mais ils s'accordèrent mutuellement le droit de prendre des amants, tant que cela ne nuisait pas à l'honneur de leur famille.
le lendemain, Castiel mit ses soeurs dans la confidence, au nom de l'amour qu'il leur portait. Si Mevanwi fut très critique avec cette supercherie, Gabrielle, elle, l'assura de son soutien.

Donc, même marié, le jeune seigneur continua ses frasques avec ses amis, sous le regard furieux de son père qui avait caressé le secret et illusoire espoir que le mariage rendrait son fou de fils plus sage et plus docile. Au contraire, l'Enfant de la Lune, comme il aimait se nommer, se fit encore plus fantasque et indiscipliné. Il découchait juste bien moins souvent. Avelina et lui devinrent rapidement des amis très proches et aucun des deux n'eut jamais à se plaindre de l'autre.

Puis récemment, le duc Nathaniel ayant appris que le royaume de Logres avait retrouvé un roi et que celui-ci cherchait à constituer une assemblée de chevaliers volontaires et courageux, il fut décidé d'y envoyer Castiel, son cousin Gwenhaël et leur meilleur ami, Brendan. Après tout, malgré leurs nombreux différends, le seigneur ne pouvait pas leur enlever leurs mérites. Il ne pouvait pas oublier qu'à l'âge de 16 ans, ils avaient accompagné son oncle et quelques soldats pour aller délivrer un village des brigands qui le tourmentaient, que, bravant et le danger et les ordres qui lui avaient été donnés, Castiel avait sauvé son oncle, et que, bien que sérieusement blessé, il avait continuer à se battre jusqu'à qu'ils mettent les bandits en déroute. Il n'avait dû son salut qu'à l'intervention deses deux amis. D'ailleurs, le jeune homme en portait encore des cicatrices. Nathaniel ne pouvait nier que son héritier, loin d'être une femmelette, était courageux et valeureux. Et ses amis avaient, eux aussi fait leurs preuves.
Castiel accepta avec joie de partir rejoindre le Roi Arthur, accompagné de Dame Avelina, de Gwenhaël et de Brendan, trop heureux à l'idée d'être loin de son père, même si la perspective d'être séparé de ses soeurs ne l'enchantait guère. Le duc de Vannes lui fit cadeau d'une magnifique épée qu'il nomma Loariadenn (Lubie).

Une fois arrivé à la Cour du Roi, le jeune seigneur de Vannes eut le plaisir de faire la connaissance du souverain qui lui fit forte impression. Il se jura de se montrer à la hauteur, tout en s'autorisant à ne pas abandonner ses frasques et sa plus vieille et chère amie: la Folie. Bien qu'il ne fût pas vraiment un guerrier dans l'âme, il se sentait prêt à tirer l'épée pour lui. Il éprouvait un très grand respect pour Arthur et Lancelot. Son opinion était un peu plus mitigée vis-à-vis des autres chevaliers.

Peu de temps après son adoubement, il eut la désagréable surprise de croiser sa chère soeur Mevanwi au côté de Karadoc. Il lui était très souvent arrivé d'assister, hilare, aux vaines tentatives de cet homme pour obtenir la main de la belle et fière jeune femme. C'était devenu le sujet de plaisanterie préféré des enfants du duc de Vannes. Et voilà que ce crapeau était marié à la belle et ambitieuse colombe. Cela donna lieu à une longue discution entre le frère et la soeur.

À présent, le jeune fou vit en Bretagne avec son épouse et ses quelques amis, attendant de pouvoir se rendre utile...



CARACTÈRE

"Le monde appelle fous ceux qui ne sont pas fous de la folie commune."


Castiel est d'une insouciance assez peu commune, mais il sait quand il doit s'arrêter. Le sérieux lui est fort peu familier, même dans les situations les plus tendues, il arrive à faire de l'humeur. Il déteste les silences gênés, il est très fantasque, voire un peu lunatique. Il adore les jeux de mots, les fêtes, la danse, la musique et les jeux de séduction. Tout ce qui peut lui permettre d'égayer sa journée. Mais il sait aussi se montrer très mature quand la situation l'exige.

De même, il voue un très grand respect à Arthur et ses idées progressistes, lui que la peine de mort horrifient et que l'esclavage insupporte. Il possède un grand courage et une loyauté sans faille. Il ne supporte pas la trahison et est très rancunier. Même s'il est en conflit avec ses parents, il a pour ses soeurs, Mevanwi et Gabrielle, un amour inconditionnel. Et il ne comprend pas que l'aînée de la famille ait accepté d'épouser un béotien lourdaud comme Karadoc. Lui-mêm eest plutôt raffiné, affectionnant la lecture, la musique et le théâtre. L'on dit souvent de lui qu'il est "pire qu'une femme" lorsqu'il se prépare à une fête ou à un repas. Il prend beaucoup de temps pour choisir ses tenues et sa coiffure, étant très perfectionniste à ce niveau.

Au-delà de ça, il est très sociable et aime la compagnie des femmes autant que celle des hommes. Il rend respect pour respect, amitié pour amitié et mépris pour mépris. Il est très protecteur envers ses proches., particulièrement envers ses soeurs. Même s'il est très proche du Peuple, le rang et l'honneur de sa famille lui sont très chers. C'est pourquoi il a beaucoup de mépris pour Karadoc. Il parle souvent de l'union entre sa soeur et lui comme du "mariage du pourceau et de l'étoile".

Parfois, il agit comme un grand enfant, il se fait capricieux ou boudeur, susceptible ou joyeux. Il aime à dire: "À l'instar de ma mère la Lune, en un mois je change trente fois d'humeur et de visage." En amour, il est joueur, attentionné, spontané, voire imprévisible, loyal, affectueux, très câlin et assez démonstratif, quoiqu'il connaisse les limites à ne pas dépasser.

Il affectionne la provocation, face aux insultes, le rire désarmant, face aux provocations, et la provocation face aux coups de ses ennemis, quand ce n'est pas sur le champ de bataille. Même s'il se moque bien pas mal de la morale, il a un code d'honneur qui lui est propre.





°-§-§-§-§-§-§-§-§-§-§-°

Alors, derrière le masque fantasque du Chevalier ami des Fous, se cache Ravlin (Val' pour les intimes), Suissesse et amie du créateur de ce fofo, ayant déjà vu passer 20 automnes, qui fréquente les forums RPG depuis quelques années déjà, qui aime les pains au chocolat et et qui est fort impatiente de faire évoluer la folie de son Castiel à travers les missions et les sujets qu'on lui proposera. Ne vous inquiétez donc pas, Cas' ne mord pas... souvent.



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Dernière édition par Castiel de Vannes le Sam 15 Oct - 16:36, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non   Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non Icon_minitimeMer 5 Oct - 10:00

On est presque bon. Juste une petite précision : Rennes n'existe pas à l'époque. Mets plutôt que tu est fils du duc de Vannes ou d'Aquitaine (même si le Duc d'Aquitaine est trop souple pour ne pas supporter les ecarts de son fils. Prends plutôt le duc de Vannes, comme ça c'est bon).



Sinon à l'époque tout le monde se vouvoyaient, même les enfants et leurs parents. Une fois ces deux choses changées, je peux te valider.
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MessageSujet: Re: Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non   Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non Icon_minitimeMer 5 Oct - 10:02

OK, je change ça vite fait, j'essaie de terminer l'histoire et le caractère aujourd'hui. ^^
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MessageSujet: Re: Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non   Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non Icon_minitimeJeu 6 Oct - 22:35

Par les Dieux Celtes, par les pouvoirs qu'y m'ont étés conférés par Excalibure, je te fais Chevalier, pour la gloire de la Bretagne et celle de ta famille.
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MessageSujet: Re: Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non   Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non Icon_minitimeJeu 6 Oct - 22:37

*s'incline devant le roi*

Merci, Sire !
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MessageSujet: Re: Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non   Castiel de Vannes, pour vous servir... ou non Icon_minitime

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